Brulocalis a pour mission principale d'aider les 19 communes et CPAS bruxellois à remplir leurs propres missions au service des citoyens.
La défense et la promotion des pouvoirs locaux prennent la forme d'un double objectif :
- améliorer leurs conditions générales de fonctionnement, qu'il s'agisse de finances, de partage des tâches, de gestion du personnel, de compétences, de contrôle, … (développement institutionnel),
- fournir à ceux-ci une assistance ponctuelle, mais en veillant toujours à développer à long terme la capacité des pouvoirs locaux à prendre eux-mêmes ces problèmes en charge.
Première mission : le plaidoyer politique
Le Bureau de Brulocalis émet des avis politiques d’initiative, ou suite à une consultation du gouvernement régional, communautaire ou fédéral et fait connaître sa position, soit publiquement, soit dans la discrétion requise par la bonne fin de son intervention. Brulocalis se concerte de façon régulière avec la Conférence des Bourgmestres sur bon nombre de dossiers d’intérêt supracommunal ou sur les consultations du gouvernement.
Brulocalis élabore des propositions de lois, décrets ou ordonnances… ou encore des amendements à apporter à divers projets sur lesquels elle est régulièrement consultée.
Ses conseillers animent divers groupes de travail composés de fonctionnaires et de mandataires locaux, qui examinent les problèmes concrets rencontrés par les communes et les CPAS.
Cette action intervient à tous les niveaux : régional, mais aussi communautaire, fédéral et international.
Le plaidoyer passe par les contacts étroits que Brulocalis entretient avec les gouvernements, les parlements et les administrations. Brulocalis représente également les pouvoirs locaux dans de nombreuses instances consultatives officielles, ou dans les commissions techniques constituées par des instances extérieures, notamment dans les cabinets ministériels et les administrations.
Ses conseillers se concertent, parfois avec ses partenaires des unions de villes et communes, l’association wallonne (UVCW) et flamande (VVSG), avec les conseillers des ministres pour analyser les conséquences d’une législation sur l’échelon local ou obtenir des informations sur une législation en voie d’élaboration.
Deuxième mission : le conseil
Dans le cadre de sa mission générale de soutien aux pouvoirs locaux, Brulocalis offre directement à ses membres divers services d’assistance et de conseil.
Les administrations communales et les CPAS peuvent bénéficier du service des questions-réponses offert par les conseillers de Brulocalis. Ceux-ci répondent ainsi quotidiennement à de nombreuses questions sur les matières les plus diverses, auxquelles communes et CPAS sont confrontés.
La nature du service rendu est essentiellement d'ordre juridique, mais des aspects économiques et techniques sont aussi couverts.
Brulocalis veille à ne pas s'immiscer dans les conflits qui pourraient exister au sein des communes et des CPAS, et observe à cet égard des règles déontologiques très strictes.
Troisième mission : le renforcement institutionnel
Brulocalis fournit un appui à la formation et à l'information du personnel et des mandataires des communes et des CPAS, qui passe par de multiples canaux physiques et électroniques.
Brulocalis organise des colloques, des séances d’informations, des ateliers et des webinaires, qui peuvent être consultés à l’agenda de ce site.
Brulocalis utilise son site internet, ses différentes newsletters, ainsi que son compte LinkedIn. Elle publie divers périodiques : son magazine, "Trait d’Union", revue générale, et le "Moniteur de la Mobilité".
Elle édite aussi d’autres ouvrages de base mis à jour régulièrement :
- Les missions de la commune/du CPAS
- la Nouvelle Loi Communale ;
- l'Aide-Mémoire des CPAS ;
- le Guide de l’Élu.
En outre, elle réalise des fiches pratiques (Brulocafiches), modèles, vade-mecum ou études spécialisées. Elle publie des analyses dans des matières communales ou CPAS en lien avec l’actualité législative ou politique.
Dans ces publications, au niveau de l’écriture inclusive, Brulocalis utilise la double forme et le langage épicène, mais pas le point médian, pour une facilité de lecture.